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MERCI
Mille fois merci à toutes celles et ceux qui ont entendu notre appel et ont rejoint la Marche sur Ottawa.
Pendant cinq jours, nous avons fait savoir aux représentants élus que nous n’oublions ni leur manque d’humanité ni les victimes de la bande de Gaza.
La grande majorité des députés se sont cachés pour nous éviter, incapables d’assumer leur honteuse responsabilité dans le génocide palestinien. Car un groupe de rêveurs et de rêveuses, venus de divers coins du pays, a osé bousculer leur zone de confort. Et nous l’avons fait : nous l’avons occupée, en maintenant notre dignité pendant cinq jours, malgré le harcèlement de la police parlementaire, malgré la chaleur, malgré la douleur immense de lire les noms de plus de 20 000 enfants assassinés à Gaza.
Oui, nous avons désobéi. Car un gouvernement qui méprise le droit international ne mérite pas le respect de celles et ceux qui se guident par les droits humains. Nous l’avons fait comme un acte de dignité et de responsabilité, fidèles à nos valeurs de respect de la vie et du droit des peuples à l’autodétermination. Les complices du génocide palestinien devaient savoir que nous sommes déterminés à leur présenter la facture de leur inaction.
La Marche sur Ottawa est terminée, mais pas nos initiatives de solidarité. Nous sommes déjà engagés dans de nouveaux projets qui ont vu le jour durant ces journées à Parliament Hill, le mur de la honte. Ce mur, aujourd’hui couvert des noms des députés qui ont refusé de lire ceux des enfants assassinés, continuera à s’emplir d’autres noms indignes à travers le pays jusqu’au prochain processus électoral. Ainsi, lorsque viendra le moment de voter, les citoyens et citoyennes pourront se rappeler qui étaient leurs représentants et quelle position ils ont adoptée à un moment où la vie et la mort d’un peuple étaient en jeu.
Leur absence d’engagement ne peut rester impunie. Aujourd’hui, l’appel mondial en faveur du peuple palestinien est aussi un appel à la mémoire, à la justice et à l’action.
Nous comptons sur vous.
Pendant cinq jours, nous avons fait savoir aux représentants élus que nous n’oublions ni leur manque d’humanité ni les victimes de la bande de Gaza.
La grande majorité des députés se sont cachés pour nous éviter, incapables d’assumer leur honteuse responsabilité dans le génocide palestinien. Car un groupe de rêveurs et de rêveuses, venus de divers coins du pays, a osé bousculer leur zone de confort. Et nous l’avons fait : nous l’avons occupée, en maintenant notre dignité pendant cinq jours, malgré le harcèlement de la police parlementaire, malgré la chaleur, malgré la douleur immense de lire les noms de plus de 20 000 enfants assassinés à Gaza.
Oui, nous avons désobéi. Car un gouvernement qui méprise le droit international ne mérite pas le respect de celles et ceux qui se guident par les droits humains. Nous l’avons fait comme un acte de dignité et de responsabilité, fidèles à nos valeurs de respect de la vie et du droit des peuples à l’autodétermination. Les complices du génocide palestinien devaient savoir que nous sommes déterminés à leur présenter la facture de leur inaction.
La Marche sur Ottawa est terminée, mais pas nos initiatives de solidarité. Nous sommes déjà engagés dans de nouveaux projets qui ont vu le jour durant ces journées à Parliament Hill, le mur de la honte. Ce mur, aujourd’hui couvert des noms des députés qui ont refusé de lire ceux des enfants assassinés, continuera à s’emplir d’autres noms indignes à travers le pays jusqu’au prochain processus électoral. Ainsi, lorsque viendra le moment de voter, les citoyens et citoyennes pourront se rappeler qui étaient leurs représentants et quelle position ils ont adoptée à un moment où la vie et la mort d’un peuple étaient en jeu.
Leur absence d’engagement ne peut rester impunie. Aujourd’hui, l’appel mondial en faveur du peuple palestinien est aussi un appel à la mémoire, à la justice et à l’action.
Nous comptons sur vous.
Face au génocide qui se déroule à Gaza, le Canada n’est pas neutre.
Encore récemment, des membres d’équipes de presse, dont le journaliste palestinien très connu et apprécié du public Anas Al-Sharif, ont été assassinés par Israël. Jusqu’ici, ce sont plus de 200 journalistes qui ont été ciblés et tués pour avoir révélé la vérité sur le génocide de Gaza.
Le moment est venu d’exposer la vérité et de révéler le rôle et la contribution du Canada dans ce génocide.
Le récent rapport armsembargonow.ca/report a dévoilé que le Canada n’a jamais suspendu les permis de vente d’armes à Israël et que plus de 400 cargaisons ont été acheminées vers la capitale israélienne Tel-Aviv, malgré que le gouvernement ait affirmé le contraire. Sous couvert d’agir en tant que pays humanitaire, le gouvernement a menti au public canadien quant à son rôle dans le génocide de Gaza. Nos impôts continuent de financer et de faciliter les crimes de guerre perpétrés par Israël à l’étranger, tandis que les services essentiels à la population, ici même au pays, sont sous-financés.
Devant ces révélations et ce constat, la Marche vers Ottawa se veut notre réponse citoyenne collective. Ensemble, nous marcherons jusqu'à la Colline du Parlement à Ottawa. Puis, du 15 au 19 septembre, des activités et des initiatives coordonnées d’un bout à l’autre du pays auront comme objectif de révéler le rôle du Canada, de confronter sa complicité et d’exiger la fin du génocide de Gaza.
Joignez-vous à nous.
Exigeons la vérité et soyons déterminés à la promouvoir.
Marchons vers Ottawa pour mettre fin au génocide.
